Le partage et l'individualisme
Les notions de partage et d'individualisme reposent sur le concept de l'intérêt. L'intérêt général pour le partage et l'intérêt personnel ou communautaire pour l'individualisme. C'est cette différence de traitement de soi ou d'autrui qui conduit à faire en sorte que l'on partage ou bien que l'on garde pour soi et/ou pour ses semblables. Les questions abordées seront : le choix de chacun, le rapport de forces et de valeurs. Je donnerai enfin mon avis tranché sur les questions.
"Charité bien ordonnée commence par soi-même". Garder une chose ou la partager ? Cela dépend de quoi il s'agit bien évidemment ! Mais pour l'argent c'est une affaire de choix. En effet, admettons que je gagne une somme convenable au Loto, disons 1000 euros. Je possède le choix (et le fardeau) de garder cette somme ou bien de la partager avec mes amis ou encore la léguer aux plus nécessiteux. Et pourquoi pas ne pas faire les trois avec cet argent : je garde 500 euros puisque c'est moi qui ai gagné au Loto, j'ai investi les 2 euros et 20 centimes pour pouvoir y jouer ; j'organise une petite fête pour mes amis avec 250 euros pour passer un moment sympa avec eux ; et puis je donne les 250 euros restants sous forme de nourriture aux plus démunis. C'est un partage équitable qui permet de rendre chacun heureux. C'est à vous de voir si cela vous arrive.
Mais quelles valeurs sont véhiculées ? L'individualisme est chose naturelle : un enfant n'aura pas tendance à partager d'emblée, il va garder son jouet pour lui. Pour ceux qui gagnent beaucoup d'argent il est normal de vouloir garder pour soi (sauf quand on est rentier puisque l'on n'a pas eu son salaire à la sueur de son front, à vous de débattre). Il paraît également "normal" de vouloir faire plaisir à ses proches : ne pas faire payer le repas à ses proches lors d'une sortie au restaurant si on gagne suffisamment sa vie. Mais qui va donner une pièce ou un billet au SDF du coin ? On ne le connait pas tant que ça au final, et puis il est négligé ce qui a tendance à nous repousser. Le plus intelligent à faire est de le connaître lui et ses valeurs pour qu'ensuite on puisse lui donner une pièce de temps en temps. Encore une fois vous êtes libres de penser et de faire ce que vous désirez.
Le partage est-il meilleur, au niveau de la morale, que l'individualisme ? "Qui n'aime pas autrui ne s'aime pas". Facile à dire mais aimer son prochain n'est pas synonyme de lui donner de l'argent ou des biens. Il peut s'agir de lui rendre service ou de lui être agréable. Il y a des choses gratuites que nous pouvons tous faire pour rendre plus confortable la vie d'autrui. La politesse et le respect en sont des exemples. Ce n'est pas parce que l'on vous demande une pièce et que vous refusez que cela fait de vous un salaud ! En revanche il y a manière et manière de donner son refus. En effet selon moi le premier des respects est la politesse. Sans cela la relation sociale est totalement vouée à l'échec ! Imaginez ce que seraient les relations sans la politesse, on n'aurait jamais pu fonder une Nation et c'est pour cela que je me bats.
En conclusion faites ce qu'il vous semble bon de faire, soyez équitable, restez poli et surtout respectueux de chacun.
"Charité bien ordonnée commence par soi-même". Garder une chose ou la partager ? Cela dépend de quoi il s'agit bien évidemment ! Mais pour l'argent c'est une affaire de choix. En effet, admettons que je gagne une somme convenable au Loto, disons 1000 euros. Je possède le choix (et le fardeau) de garder cette somme ou bien de la partager avec mes amis ou encore la léguer aux plus nécessiteux. Et pourquoi pas ne pas faire les trois avec cet argent : je garde 500 euros puisque c'est moi qui ai gagné au Loto, j'ai investi les 2 euros et 20 centimes pour pouvoir y jouer ; j'organise une petite fête pour mes amis avec 250 euros pour passer un moment sympa avec eux ; et puis je donne les 250 euros restants sous forme de nourriture aux plus démunis. C'est un partage équitable qui permet de rendre chacun heureux. C'est à vous de voir si cela vous arrive.
Mais quelles valeurs sont véhiculées ? L'individualisme est chose naturelle : un enfant n'aura pas tendance à partager d'emblée, il va garder son jouet pour lui. Pour ceux qui gagnent beaucoup d'argent il est normal de vouloir garder pour soi (sauf quand on est rentier puisque l'on n'a pas eu son salaire à la sueur de son front, à vous de débattre). Il paraît également "normal" de vouloir faire plaisir à ses proches : ne pas faire payer le repas à ses proches lors d'une sortie au restaurant si on gagne suffisamment sa vie. Mais qui va donner une pièce ou un billet au SDF du coin ? On ne le connait pas tant que ça au final, et puis il est négligé ce qui a tendance à nous repousser. Le plus intelligent à faire est de le connaître lui et ses valeurs pour qu'ensuite on puisse lui donner une pièce de temps en temps. Encore une fois vous êtes libres de penser et de faire ce que vous désirez.
Le partage est-il meilleur, au niveau de la morale, que l'individualisme ? "Qui n'aime pas autrui ne s'aime pas". Facile à dire mais aimer son prochain n'est pas synonyme de lui donner de l'argent ou des biens. Il peut s'agir de lui rendre service ou de lui être agréable. Il y a des choses gratuites que nous pouvons tous faire pour rendre plus confortable la vie d'autrui. La politesse et le respect en sont des exemples. Ce n'est pas parce que l'on vous demande une pièce et que vous refusez que cela fait de vous un salaud ! En revanche il y a manière et manière de donner son refus. En effet selon moi le premier des respects est la politesse. Sans cela la relation sociale est totalement vouée à l'échec ! Imaginez ce que seraient les relations sans la politesse, on n'aurait jamais pu fonder une Nation et c'est pour cela que je me bats.
En conclusion faites ce qu'il vous semble bon de faire, soyez équitable, restez poli et surtout respectueux de chacun.
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