Le chômage : l'arme de l'entreprise
Le chômage est une donnée capitale non seulement pour les politiques, qui essayent de le réduire pour se faire bien voir des Français, mais aussi pour les entreprises. En effet les entreprises (et les sociétés) se servent du chômage pour faire peur aux salariés. Qui a envie de se retrouver au chômage ? Le chômage permet une meilleure productivité de la population active occupée dans les entreprises puisque ceux qui sont à la traîne seront simplement renvoyés au prochain audit ou à la prochaine restructuration.
Quels mécanismes permettent au chômage de devenir l'arme de l'entreprise ? Le turn-over (roulement des salariés) dans les entreprises est parfois élevé. Il suffit d'aller régulièrement dans un restaurant pour voir que les serveurs changent. Fin du contrat à durée déterminé et non-renouvellement dudit contrat permettent à l'entreprise de changer son personnel avant qu'il ne devienne un salarié à durée indéterminée. Si le salarié possédant un CDD tombe malade pendant la durée de son contrat pas sûr qu'il soit renouvelé et encore moins sûr que l'employeur le bascule sur un CDI. Le chômage fait peur et force le salarié à se surpasser pour conserver son emploi, c'est une forme de stakhanovisme (où le salarié se montre productif et parfois se tue à la tâche).
Encore une fois mais je ne le répéterai jamais assez : la seule critique définitive est la création. Alors voilà mes idées pour réduire le chômage et la pression au travail :
Tout d'abord passer de 35h à 30h hebdomadaires. En effet due à la raréfaction du travail, il en faudrait pour tout le monde, qu'on en fasse moins mais que tout le monde puisse accéder au travail. Les répercussions attendues seraient du bonheur familial en plus, l'éducation par les parents renforcée et moins d'heures passées au travail. Pour les entreprises ce serait un travailleur en plus tous les six salariés pour compenser les heures perdues. La réduction du chômage rime avec réduction des allocations chômage, L’État payerait moins, moins d'attente à Pôle Emploi et comme un grand pan de la population serait occupée, cette mesure serait couplée avec une réduction du RSA et de la durée des allocations chômage (le chômage involontaire tendrait à disparaître).
Pour aller plus loin et pour ne pas baisser le pouvoir d'achat des Français : il faudrait augmenter les allocations pour le logement (calculées au prorata pour qu'ils ne perdent trop), permettre aux cadres de travailler plus avec des heures supplémentaires défiscalisées à partir de la 30ème heure hebdomadaire travaillée en autorisant 15% des salariés d'une entreprise (arrondi à l'entier supérieur) à travailler davantage.
Les conséquences attendues seraient une meilleure répartition du travail, plus de temps libre, moins de chômage involontaire (coupe budgétaire dans ce domaine), permettre à quelques salariés désirant de travailler davantage de pouvoir le faire.
Si l'idée vous séduit, contactez-moi et/ou commentez ! L'important c'est de s'exprimer parce nous sommes en démocratie, alors profitez-en !
Quels mécanismes permettent au chômage de devenir l'arme de l'entreprise ? Le turn-over (roulement des salariés) dans les entreprises est parfois élevé. Il suffit d'aller régulièrement dans un restaurant pour voir que les serveurs changent. Fin du contrat à durée déterminé et non-renouvellement dudit contrat permettent à l'entreprise de changer son personnel avant qu'il ne devienne un salarié à durée indéterminée. Si le salarié possédant un CDD tombe malade pendant la durée de son contrat pas sûr qu'il soit renouvelé et encore moins sûr que l'employeur le bascule sur un CDI. Le chômage fait peur et force le salarié à se surpasser pour conserver son emploi, c'est une forme de stakhanovisme (où le salarié se montre productif et parfois se tue à la tâche).
Encore une fois mais je ne le répéterai jamais assez : la seule critique définitive est la création. Alors voilà mes idées pour réduire le chômage et la pression au travail :
Tout d'abord passer de 35h à 30h hebdomadaires. En effet due à la raréfaction du travail, il en faudrait pour tout le monde, qu'on en fasse moins mais que tout le monde puisse accéder au travail. Les répercussions attendues seraient du bonheur familial en plus, l'éducation par les parents renforcée et moins d'heures passées au travail. Pour les entreprises ce serait un travailleur en plus tous les six salariés pour compenser les heures perdues. La réduction du chômage rime avec réduction des allocations chômage, L’État payerait moins, moins d'attente à Pôle Emploi et comme un grand pan de la population serait occupée, cette mesure serait couplée avec une réduction du RSA et de la durée des allocations chômage (le chômage involontaire tendrait à disparaître).
Pour aller plus loin et pour ne pas baisser le pouvoir d'achat des Français : il faudrait augmenter les allocations pour le logement (calculées au prorata pour qu'ils ne perdent trop), permettre aux cadres de travailler plus avec des heures supplémentaires défiscalisées à partir de la 30ème heure hebdomadaire travaillée en autorisant 15% des salariés d'une entreprise (arrondi à l'entier supérieur) à travailler davantage.
Les conséquences attendues seraient une meilleure répartition du travail, plus de temps libre, moins de chômage involontaire (coupe budgétaire dans ce domaine), permettre à quelques salariés désirant de travailler davantage de pouvoir le faire.
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